Se poser, enfin. S’arrêter. S’allonger. Là.
Ecouter au fond les cris et le bruit de l’eau des enfants qui jouent dans la piscine.
Se laisser caresser par les rayons du soleil qui percent à travers le branchage des arbres.
Le chant des oiseaux.
La main sur l’herbe fraîche.
L’odeur des rosiers, de l’érable, et du soleil d’été.
Les branches des arbres dans l’infini ciel bleu.
La fourmi qui nous chatouille le pied.
Et le rien.
Le rien absolu.
Le rien au ralenti.
Les vacances peuvent commencer.