Rien. Rien, il n’y a rien que quelques maisons, le large tout autour, nous deux sur un sentier, le vent dans mes cheveux, la mer à perte de vue, le bleu des agapanthes, l’odeur iodée, un phare dans le lointain, un parfum d’exotisme, une plage de sable blanc, le clapotis de l’eau sur les galets.
Rien. S’arrêter là. Se poser là. Rien que ce sentiment d’infinie liberté.








