par la fenêtre

Les oies sauvages

Temps gris de novembre, le froid est là, trois loulous malades à la maison. Et soudain, là sur le terrain de foot derrière le jardin, en pleine région parisienne, une cinquantaine d’oies sauvages qui picorent et se baladent. Elles ont fait le tour du stade, ont failli se faire attraper par un chat tapis dans l’herbe. Une heure et demie à les observer depuis la fenêtre du premier, les loulous avaient sorti chaises et jumelles. Nous avons râté l’envol. Partis chez le médecin, qui dit loulous malades dit justificatif médical,  elles n’ont pu attendre notre retour. Une longue route vers le sud.

Dehors, partout le stress parisien,  et au coeur de ce stress, la nature et ses richesses.

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